Hiboux

LES 3 POINTS DE SUSPENSION

Tutoriel théâtral pour réussir sa mort et celle des autres · CRÉATION 2020

Hiboux est une messe contemporaine qui explore nos manières de faire du rite, nos représentations du deuil. Hiboux est aussi une histoire chorale qui nous raconte et nous invente.

Autour d’une table ronde, trois musiciens-comédiens et un conseiller funéraire explorent les relations qui nous unissent aux disparus. Ils invitent le spectateur à plonger dans un monde où vivants et morts bricolent, à partir de leurs héritages, pour leur permettre de mieux vivre ensemble. On y parle avec tendresse et humour de la mort, de croyances, de rites et cérémonies, de spiritisme, de passé et de futur, d’immortalité et d’éternité. Hiboux sera l’occasion d’enterrer collectivement un spectateur, d’échanger avec Gilles Deleuze, Thomas Edison ou Victor Hugo et de rencontrer le fantôme que nous allons devenir. Et l’avantage de faire un spectacle sur la mort, c’est que personne ne sait ce qu’il y a après, alors on peut dire ce que l’on veut.

 

 

 

 

 

© Sylvain Marchand et Michel Wiart

Les 3 points de suspension

Collectif d’artistes issus du cirque, de la musique, du théâtre, de la danse et des arts plastiques, Les 3 points de suspension explorent des sujets aussi divers que les rapports françafricains, le sommeil et ce que nous appelons le réel. Ils abordent toutes les scènes, musiques, théâtre, rue, terrains vagues, salle de conseil municipal… pour explorer sans vergogne des thèmes qui font la spécificité de notre monde contemporain.

Les 3 points de suspension tourne depuis 18 ans ses spectacles. Voyage en bordure du bord du bout du monde en 2006, est l’oeuvre qui les a fait connaître internationalement. Aujourd’hui, la compagnie est à l’origine de 6 créations de formats et esthétiques différentes ainsi que de nombreux hors-formats qui ont tourné tant dans les festivals d’art en espace public qu’en salle. Ils ont depuis, reçu de nombreuses bourses et soutiens pour les écri- tures spécifiques à l’espace public. En 2013, la compagnie a participé au projet européen Artiuculate pour encourager la création collaborative d’une œuvre artistique mêlant arts de rue et arts plastiques. La Grande Saga de la Françafrique, jouée à la Manufacture au Festival d’Avignon en 2016, a connu un franc succès. Depuis, ce spectacle tourne régulièrement chaque année.

Les 3 Points de suspension est une compagnie conventionnée DRAC et Région Auvergne-Rhône-Alpes depuis 2015.

 Spectacle

Samedi 16 octobre à 20h
Au Théâtre du Parc

42160 Andrézieux-Bouthéon

À partir de 14 ans · Durée : 1h30

Tarif unique : 10€50

Une coréalisation Superstrat
et le Théâtre du Parc

Site internet de la compagnie : www.troispointsdesuspension.fr
Distribution

Mise en scène : Nicolas Chapoulier · Écriture : Les 3 Points de suspension · Jeu : Jérôme Colloud, Renaud Vincent, Cédric Cambon · Création musicale et habillage sonore : Jérôme Colloud, Renaud Vincent · Scénographie et costumes : Cédric Cambon, Gael Richard et Sophie Deck · Administration : Lorène Bidaud · Production : Lorène Bidaud, Neyda Paredes · Diffusion : Neyda Paredes.

Mentions de production

Aides à la création, co-productions et résidences : DGCA, Pôle arts de la scène – Friche la Belle de Mai – Marseille, Groupe des 20 – Scènes publiques Auvergne-Rhône-Alpes, Espace Malraux Scène Nationale de Chambéry et de Savoie, Château Rouge – Annemasse, Le Citron Jaune – CNAREP, Le 3bisF – Aix-en-Provence, Les Ateliers Frappaz – CNAREP, CPPC – Rennes, Lieux Publics – Centre national de création en espace public – Marseille, Atelier 231 – CNAREP, L’Abattoir – CNAREP, Superstrat – Parcours d’expériences artistiques, Eclat – CNAREP – Aurillac, Karwan – Cité des arts de la rue – Marseille, La Bobine – Grenoble, Cie Happés, La Déferlante – Notre Dame de Monts · Remerciements : Lucas Spirli, Julien Rabin, Franck Serpinet, Adrien Virat, Mathias Youchenko, Pauline Julier, Caty Avram.

La compagnie est conventionnée par le Ministère de la Culture – DRAC Auvergne-Rhône-Alpes ainsi que par la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est subventionnée par le département de la Haute-Savoie et soutenue par la Ville de Saint-Julien-en-Genevois.